

Races de Sindar
Création et reproduction
La naissance d’un Aasimar est toujours énigmatique. Il n’existe aucune culture Aasimar puisque chaque individu est issu de parents «normaux» : humains, elfes, nains, etc. Ce n’est qu’à la naissance que les parents réalisent qu’ils ont conçu un être porteur d’essence divine, choisi par les dieux bienveillants. Son enfance est bien sûr hors de l’ordinaire; sa peau presque blanche et lumineuse ne passe pas inaperçue et les jeux des autres enfants l’indiffèrent, obnubilé qu’il est par sa mission divine. Pris par leur quête, les Aasimar sont souvent solitaires et incompris, et ne peuvent avoir d’enfants.
Rites et coutumes
Bien qu’ils soient surtout affectés par leur affiliation divine, la plupart d’entre eux continuent leur vie durant à respecter et pratiquer les coutumes de leur société d’origine.
Relation et style de vie en Sindar
Les Aasimar sont souvent observés avec une crainte respectueuse par les gens du peuple. Les enfants les suivent en se cachant derrière des buissons et les villageois leurs demandent des faveurs pour de bonnes récoltes. Les supporteurs du bien, ceux qui le défendent par la lame ou la magie, sont souvent admiratifs et apprécient leur assistance sur les champs de bataille et dans les conseils. Ceux qui ont voué leur cœur au mal voient plutôt leur présence d’un mauvais œil…
Description
Outre leur peau blanche, ils ressemblent à des Humains. Même si on peut percevoir leur culture d’origine dans leurs vêtements, les Aasimar estiment grandement les tuniques de grande qualité aux matériaux nobles.
Prérequis
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Maquillage blanc
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Alignement Bon
Aasimar
Damné
Création et reproduction
Bien que plusieurs races connaissent mal leur origine, tous savent comment les Damnés sont apparus. Une Oorok nommée Zepharosk a ouvert le Livre d’Efrava, libérant par ce fait même une vague d’énergie chaotique qui transforma le paysage en un cratère béant. Ce n’est pas seulement le paysage qui fut atteint, mais plusieurs des créatures qui ne furent pas tuées subirent des transformations répugnantes. Il est encore impossible de savoir pourquoi certains furent atteints et pas d’autres; la transmission de la déformation est très erratique. Si les deux parents sont Damnés, l’enfant le sera assurément, mais s’il ne s’agit que l’un d’entre eux, les résultats sont imprévisibles.
Rites et coutumes
Afin d’apaiser le courroux d’Efrava, une fête nommée la Sainte-Zepharosk est célébrée chaque année au printemps. Soit pour démontrer leur gratitude pour le «don» qui leur fut offert, soit pour éviter que ce sort s’étende davantage, la plupart des Damnés se réunissent pour l’occasion. Moult démonstrations et célébrations mettent en scène des serpents qui sont adorés ou sacrifiés pour la déesse. Bien que tous les Damnés ne portent pas la déesse dans leur cœur, il est pratiquement assuré qu’ils seront un jour submergés par une envie insatiable de vengeance…
Relation et style de vie en Sindar
De tous les regards qui se posent sur eux, les Damnés ne peuvent espérer autre chose que le dégoût, la crainte, la haine et parfois la pitié. Même les membres de leur race d’origine ne les acceptent plus et les rejettent par peur. Ils travaillent dans des conditions épouvantables pour un salaire de misère où aucun être doué de sens n’oserait mettre le pied. Ne pouvant trouver de métiers ou d’occupations plus nobles, certains tentent aussi de survivre en mendiant ou en volant. Entre eux, ils s’entraident et trouvent un réconfort dans leur malheur commun, mais ils sont toujours méfiants des gens «normaux». Ces derniers n’hésitent pas à les offenser et à les abaisser, mais les Damnés savent encaisser sans broncher, en attendant le jour où ils leur rendront la monnaie de leur pièce.
Description
Malgré les déformations, la race d’origine du Damné est facilement reconnaissable. Leurs vêtements sont souvent en loque et sales, parfois un nouveau morceau intact déniché quelque part s’ajoute au tout. Le Damné essaie de se couvrir le plus possible pour qu’on ne réalise par ce qu’il est, bien que ça le rende très suspect puisque bien des anomalies sont très évidentes. Tumeurs difformes, couleur de peau inhabituelle, masses suintantes, membre surnuméraire, la liste est longue…
Prérequis
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Apparence de base d’une autre race
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Au moins une mutation évidente (Main malformée et griffue, bossu, décomposition, etc.)
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Approbation de l’équipe d’animation
Demi-Elfe
Création et reproduction
Fruits des amours entre un humain et une Elfe et vice-versa, le demi-elfe vit souvent une existence solitaire, rejeté par les sociétés elfiques, principalement à cause d’une longévité «humaine», qui change sa vision du monde. Élevé dans un milieu humain, il est souvent un peu plus inclus, mais reste souvent déchiré entre deux mondes. S’il s’unit à un elfe ou un humain, l’enfant sera de la race du parent «pur». Il lui sera toutefois impossible d’enfanter avec une autre race.
Rites et coutumes
Selon la culture dont ils proviennent et l’accueil que celle-ci leur a fait, les demi-elfes adopteront ou renieront leurs rites et coutumes.
Relation et style de vie en Sindar
Outre les elfes qui les jugent impurs, la plupart des autres races s’entendent bien avec eux. Certains demi-elfes peuvent être amers envers la société humaine ou elfique, rechercher leur approbation à tout prix ou bien leur être indifférents. D’autres individus utilisent au contraire leur héritage pour s’adapter à plusieurs milieux puisqu’ils sont étonnamment versatiles.
Description
Ils peuvent retenir un peu plus d’un parent ou de l’autre dans leur apparence physique. Les hommes sont presque imberbes et portent parfois une barbe peu fournie. Leurs préférences vestimentaires sont très variables.
Prérequis
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Oreilles pointues
Demi-Orc
Création et reproduction
La plupart des demi-orc sont née d’une union orc et humain, ceux-ci gardent pour la plupart plus de traits humains que orc. Par contre il n’est pas si rare de voir des demi-orc bien bâtit et ayant une force plus intense que les humains normaux. Élever la plupart du temps par un des deux parents ils restent soit dans leur tribus ou dans des villages reculés ou ils sont les plus souvent accepter, malgré leurs apparences souvent plus humaines la race n’est généralement pas appréciée surtout au niveau des tribus orc.
Rites et coutumes
La plupart des demi-orc n’ont pas de rite ou culture à proprement parler, la grande majorité vivent des vies reclus de la société ou souvent dans le marché du mercenariat et également sur la route pour éviter d’être stagnant dans les villes trop longtemps. Pour les rare qui gardent beaucoup de trait orcs, ils se retrouvent souvent dans certaine tribu ou orc et demi-races sont confondu. Ils vivent généralement peu longtemps dû à l’animosité les entourant ainsi que leur vie plutôt mouvementé.
Description
Ils peuvent retenir un peu plus d’un parent ou de l’autre dans leur apparence physique. Il pourrait retenir de son coté Orc, mais arborer une carrure plus frêle ou retenir de son coté Humain mais avoir la teinte verdâtre. Leurs préférences vestimentaires sont très variables.
Prérequis
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Crocs inférieurs
Elfe
Création et reproduction
Errants dans les forêts bien des années avant que les premiers humains n’aient commencé à former de multiples civilisations et des œuvres de toutes sortes, les Elfes ont toujours préféré leur habitat d’origine et sont peu enclin à quitter leurs hautes futaies.
Bien que très anciens, ils ne peuvent dire eux-mêmes avec certitude comment ils apparurent sur Eklaizia. Certains croient que les Dieux les auraient créés à leur image, d’aucuns pensent qu’ils sont plutôt des enfants de Zarrek, créatures de la forêt. En tous les cas, ils ne doutent point d’une affiliation divine et se montrent peu humbles à ce sujet. Qui plus est, leur facilité déconcertante à utiliser la magie ainsi que leur grande longévité, au-delà de plusieurs siècles, ajoutent à ce sentiment de supériorité.
Malheureusement, les Elfes font peu d’enfants. Que ce soit à cause d’un rythme de vie trop lent où ils ne se pressent pas de procréer comme les humains, ou par une faible fertilité, une femme Elfe n’aura que rarement plus de deux ou trois enfants dans toute son existence. Ces enfants sont néanmoins chéris et de grandes cérémonies accompagnent les naissances et la fin de l’enfance.
Rites et coutumes
Toutes les variations de la nature sont prétextes à des fêtes et des célébrations. Les premières neiges, l’apparition des fleurs au printemps mais aussi les équinoxes par exemple, sont autant de raisons pour parer les demeures d’ornements, mettre ses plus beaux atours et chanter et danser toute la nuit. Les Elfes sont très festifs, même si les manifestations de joie des humains peuvent leurs sembler trop exubérantes, ils ne peuvent résister longtemps au désir de s’amuser.
Outres les fêtes de tous genres, ce peuple se plie de bon gré à plusieurs usages qui perdurent depuis toujours. La politesse et le respect sont élémentaires, et un refus net à une invitation est outrageux, sauf si l’interlocuteur a su briller de tact et de diplomatie.
Relation et style de vie en Sindar
Comme les Elfes tiennent beaucoup à leur intimité, ils défendent farouchement leur territoire et les intrus n’ont souvent pas le temps d’aller loin avant de sentir la morsure d’une flèche. Toutefois, les Elfes sont enclins à sortir de leur territoire pour commercer avec les peuples des environs. Ils apprécient les talents des autres races et, dans certains cas, de réelles amitiés peuvent se développer, mais en général, les affiliations sont plutôt temporaires et servent un intérêt commun.
Avec le temps, quelques individus en sont venus à apprécier la vie en ville, mais leur appréciation de la nature transparait toujours dans leur domicile et leurs habits.
Description
La plupart des Elfes favorisent les vêtements aux couleurs naturelles ainsi que les teintes douces. Ils apprécient les voilages et les tenues aériennes lorsqu’ils déambulent dans leurs grandes cités nichées entre les arbres, mais préfèrent d’élégants ensembles de cuir ornementé lorsqu’ils voyagent armés d’arc et d’épées longues.
Une peau imberbe, un corps svelte et des oreilles pointues suffisent à les démarquer.
Prérequis
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Oreilles pointues
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Carrure svelte
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Aucun poil apparent
Elfe Noir
Création et reproduction
Plusieurs se questionnent toujours quant aux liens qui unissent les Elfes «blancs» aux Elfes noirs, mais personne ne peut conclure entre une origine commune ou bien des similitudes qui ne seraient que le fruit du hasard. En effet, outre leur allure svelte, leurs oreilles en pointe et leur étonnante agilité, ils n’ont pas grand-chose d’autre en commun. Leur cruauté, la perversité de leurs actes, leur haine des créatures de la «surface» ainsi que leur peau noire comme l’onyx les différencient aisément des Elfes. Même les relations au sein de leur propre race sont caractérisées par la trahison et la recherche du pouvoir.
Rites et coutumes
Chaque regroupement, que ce soit une ville ou une famille, est dirigé selon un système matriarcal intransigeant. L’aînée ordonnera à ses sœurs, ses filles ou ses nièces, puis celles-ci se serviront des hommes pour exécuter les tâches de moindre envergure. Bien qu’il y ait une lutte pour le pouvoir sanglante et perpétuelle, les membres d’une même faction sont généralement fidèles les uns aux autres lorsque la matriarche est bien établie. Quant aux autres, tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins : la manipulation tout autant que l’éradication.
Les Elfes Noirs n’ont généralement pas le cœur à la fête, mais deux évènements d’envergure sont néanmoins soulignés régulièrement : la naissance d’une fille et l’épreuve des hommes.
La naissance d’une fille est toujours bien accueillie; toutes les femmes de la famille, même la matrone, se présentent pour l’occasion et des offrandes sont même données à la mère. Des banquets et des joutes sont même organisés, au plaisir des dames qui sont évidemment servies par les hommes. D’ailleurs, les plus chanceux auront l’occasion de combattre devant la matrone et le survivant du combat recevra moult honneurs. L’épreuve des hommes est par contre un peu moins fastueuse. Les femmes ne se déplacent pas pour venir observer et nulle réjouissance, autre que celle de pouvoir vivre un autre jour, n’est offerte aux participants. Ce test consiste à évaluer les aptitudes des jeunes qui auront été préalablement entraînés au combat depuis leur premiers pas. Les guerriers les plus talentueux auront la chance de servir pour des missions guerrières, et même d’être choisi comme reproducteur par les femmes, tandis que les plus faibles seront relégués à des tâches de subordonnés : serviteur, homme à tout faire, coursier…
Relation et style de vie en Sindar
Certaines régions ont vu s’établir de petits groupes d’Elfes Noirs à la surface et, en certains endroits, on dit même qu’ils seraient parvenus à des postes politiques dans des cités à la réputation douteuse…
La plupart des individus qui se sont joints à des groupes où l’on constate une mixité raciale sont des mâles, menacés ou chassés car trop faible, ou bien ayant une ambition qui serait dangereuse d’exercer dans une communauté uniquement composée de leur race. Il existe également des petites familles suivant le modèle matriarcal qui se sont établies en surface et qui parviennent à faire des ravages là où elles passent.
Dans tous les cas, ils sont rarement aperçus de jour; leur évolution ayant favorisé les individus aux mœurs nocturnes, elle désavantage fortement les sorties au soleil. Ceci n’empêche pas qu’ils pullulent de plus en plus à la surface grâce à un sens de la survie exacerbé.
Description
Leur carrure athlétique et leur grâce naturelle sont mises en valeur par des vêtements généralement de bonne facture, facilitent le camouflage dans l’ombre et semble d’un style insolite pour un l’œil d’un étranger. Leur chevelure blanche, au travers de laquelle ressort souvent leurs oreilles pointues, est habilement mise en valeur et fait d’autant plus ressortir le noir profond de leur peau. Ils estiment les bijoux et les parures, mais rares sont les hommes qui ont la possibilité d’en porter lorsqu’ils sont sous les ordres d’une matriarche.
Prérequis
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Oreilles pointues
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Maquillage noir
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Pilosité blanche
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Alignement Mauvais
Epsylon
Création et reproduction
Les epsylons sont une création native de la puissance de Néphariel. Malgré que plusieurs d’entre eux ont été aperçu dès l’apparition de Néphariel. Il est encore incertain de comment ceux-ci ont été créer physiquement.
Tous ont un lien avec le monde celui des esprits étant demi-esprits.
Depuis l’arrivé de plusieurs Epsylon il y a de cela maintenant 5 ans, ont peux commencer à voir des nouveaux-née ce qui était encore non vue.
Rites et coutumes
Les Epsylon sont fier qui ont tendance à mépriser l’échec, la plupart prônant leur créateur Néphariel. De plus en plus on peux voir un peu partout en Sindar plusieurs Epsylon poussé vers d’autres dieux.
Il est connu de tous que l’ascension de leur créateur est arrivé en Fehran.
Il est donc très commun que plusieurs vienne voir l’endroit utiliser par les aventuriers.
Relation et style de vie en Sindar
En Sindar, malgré que nouveaux, les epsylons se sont rapidement intégrer à la vie commune des cités. Plusieurs se sont rassemblés dans les cités près de Fehran. Mais il n’est pas rare de trouver plusieurs petits groupes dans les cités éloigner comme Entrogar, remplaçant rapidement les gobelins ayant quitter la cité.
Description
Les epsylons ressemble physiquement aux elfes avec leur chevelure généralement blanche ainsi que leur oreilles pointus. Ils détiennent cependant des cornes allant des cornes semblable aux theifling jusqu’aux cornes de bois comme certains animaux.
Prérequis
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Cheveux blanc
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Cornes
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Oreilles d’elfes
Gobelin
Création et reproduction
Les gobelins semblent être nés du marécage; vert grisâtre, imprévisibles et peu ordonnés. Ils pullulent comme de la vermine, ce qui expliquent que certains ont à s’approcher de la civilisation lorsque les ressources viennent à manquer, ou tout simplement par curiosité.
Rites et coutumes
Ces petites créatures astucieuses aiment s’amuser. La trouvaille «fortuite» de quelques pièces d’or procure l’occasion de festoyer en grande pompe et dans un désordre le plus complet. Il n’est pas rare dans ces occasions que des batailles surviennent. Toutefois, la cohésion est forte dans le groupe et les gobelins n’aiment pas qu’on s’en prenne à l’un des leurs. Ils se disperseront comme des lapins à la moindre menace, mais reviendront furtivement sauver leur ami, leur butin ou leur repas.
Un ordre hiérarchique complexe existe, souvent perturbé par de nouvelles règles d’usages qui proclameront tel ou tel individu «Grand Gargantuesque Gobelin», ou tout nouveau titre qui leur plaira. En fait, une seule chose est stable : le gobelin ayant le butin le plus «intéressant» obtient l’admiration de ses pairs, puis subit rapidement leur convoitise.
Relation et style de vie en Sindar
Les gobelins sont toujours observés d’un air suspicieux par tous ceux qui les croisent. Leurs habitudes de kleptomane sont bien connues, mais comme ils semblent inoffensifs, ils sont souvent laissés en paix ou ignorés.
Quelques personnes aiment bien utiliser les services de ces petites créatures. En échange d’un logis, de nourriture, de protection et d’un paiement en cadeaux de faible valeur, les Gobelins rapportent des larcins ou bien ils peuvent accomplir bien des tâches pour une simple babiole.
Description
Leur peau vert-gris est souvent recouverte de boue ou de croûte pour éviter les piqûres d’insectes des marais. Leurs longues oreilles pointues portent normalement des breloques et autres bijoux de faible valeur. Leurs habits sont souvent rudimentaires dans les matériaux utilisés, mais richement ornés des trouvailles qu’ils auront faites. Un Gobelin aux vêtements surchargés est assurément en bonne position du rang hiérarchique.
Prérequis
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Oreilles longues et pointues
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Maquillage vert
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Taille maximale : 5 pieds 7
Humain
Création et reproduction
Peu de temps après que les Elfes se soient établis un peu partout, les Humains commencèrent à émerger et à se répandre en très peu de temps jusqu’aux confins du monde. Il leur fallut le tiers du temps qu’il fallut aux Elfes pour créer des civilisations hallucinantes et des œuvres architecturales aussi impressionnantes que variées. Au fil des pérégrinations, les cultures se sont diversifiées, les chansons et les danses exprimaient la réalité d’une vie sous les frondaisons d’une jungle ou dans l’immensité d’une plaine d’herbage. Les rites, mais aussi les lois et l’éducation ont évolués au fil du temps et furent modulées par l’environnement, les guerres et les alliances.
Les Humains préfèrent prendre un compagnon de vie dans leur communauté d’origine, mais comme ils sont généralement ouverts d’esprit et amenés à côtoyer une multitude de gens d’origine et de race différentes, ils n’hésitent pas à se lier le temps d’une vie ou d’une nuit à des personnes très éloignées d’eux par l’apparence ou la culture.
Rites et coutumes
Sur le continent de Sindar, les rites Humains dépendent souvent du lieu d’origine des individus et de leur mode de vie.
Ceux du Nord, ne pouvant pas cultiver leur terres et où l’élevage est très difficile, valorisent la chasse et le commerce. Ainsi, chaque Grande Chasse devient l’occasion de rencontrer les clans voisins afin de troquer du matériel, de monter des équipes de chasseurs, d’organiser des joutes amicales et d’organiser les mariages.
Les riverains ont une grande habileté à la construction des embarcations et profitent de toutes les largesses de la mer et des fleuves. Leurs vies sont rythmées par les tempêtes et les humeurs des marées, et ils ne peuvent imaginer procéder à une cérémonie ailleurs que sur les flots.
Les habitants des zones tempérées jouissent de ressources abondantes qui leur permettent d’occuper leur temps dans l’innovation et les arts. Les fêtes sont plus une célébration de leurs accomplissements plutôt que des requêtes aux dieux.
D’autres clans, villages et tribus possèdent leur culture propre et légendes locales. Apparemment, des civilisations complètement nouvelles sur d’autres continents seraient même en mesure de concurrencer les grandes cités-État de Sindar.
Relation et style de vie en Sindar
Les Humains ne craignent pas le dur labeur et savent se sortir de toutes situations par leur créativité. Ils s’adaptent facilement et s’intègrent aux autres sans difficulté, ce qui leur permit des alliances avec tous et chacun. Leur recherche de connaissance et de pouvoir est insatiable et peut facilement devenir malsaine, au point d’être à l’origine de plusieurs conflits.
Description
Les Humains mesurent en moyenne de 1m60 à 2m10 et sont d’une corpulence un peu plus forte que celle des Elfes. La couleur de leur peau varie entre un blanc rosé jusqu’à un teinte brune presque noire. Selon leur origine, ils porteront des vêtements adaptés à leur réalité quotidienne et des ornements permettent d’établir leur statut, leur richesse et leur personnalité aux facettes multiples.
Prérequis
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Aucun
Nain
Création et reproduction
Les légendes naines disent que le premier d’entre eux fut formé par une coulée de lave qui, en refroidissant, aurait pris vie et se serait extirpé de la pierre volcanique. Grâce à ses talents innés, il aurait conçu les outils pour façonner dans le platine une conjointe à son image.
La famille est très importante pour les Nains. Les mariages ne sont pas arrangés et les enfants restent au domicile familial jusqu’à un âge avancé. D’ailleurs, des chambres sont souvent ajoutées pour accueillir une bru ou un gendre. Malgré le soin qu’ils apportent à leurs enfants, les Nains ne sont pas très prolifiques et il est rare de compter plus de deux naissances par couple.
Rites et coutumes
Les légendes et les conteurs sont très prisés et chaque histoire ou anecdote sont en peu de temps enjolivées, remaniées et exagérées au grand plaisir des auditeurs. Les chants de guerre et d’aventure ont toujours la cote auprès des jeunes qui s’attroupent en grand nombre autour des conteurs les plus éloquents. Toutefois, les Nains sont très réfléchis et évitent d’agir dans la précipitation. Ainsi, les jeunes ne sont pas têtes brûlées comme peuvent l’être les Humains à un âge similaire.
Outre lors des soirées de contes, ils se réunissent régulièrement autour de banquets bien arrosés où les tables ploient sous les rôtis, les méchouis, les venaisons, les poulardes et autres victuailles.
Relation et style de vie en Sindar
Riches de leurs ressources, les Nains sont devenus rapidement des marchands redoutables avec lesquels la négociation n’est pas aisée. De plus, comme ils sont souvent les seuls avec qui l’achat de certains matériaux rares ou précieux est possible, ils profitent bien de cet avantage.
Ils sont aussi des aventuriers robustes qui apprécient les combats musclés et vivent facilement en milieu sauvage. Ils sont des compagnons joyeux auxquels il en difficile de faire perdre leur rire puisque toute mésaventure est ensuite un prétexte à une histoire rocambolesque au coin du feu.
La plupart des Nains ne comprennent pas la culture elfique; certains évitent et méprisent carrément les Elfes, mais d’autres commercent volontiers avec eux et s’entendent relativement bien.
Les Orcs et les races qui en descendent leur sont par contre moins sympathiques. Si une rencontre ne se termine pas nécessairement en affrontement, les Nains savent rarement retenir leur langue quand vient sur celle-ci une réplique cinglante…
Néanmoins, les Humains forment souvent des alliés auxquels les Nains sont fidèles. Ils développent rapidement des liens forts, quoique jamais un couple n’ait pu produire d’enfant.
Description
De petite taille, mais très robustes, ils se démarquent par leur caractère bourru et par leur barbe ornée de tresses et de joyaux. Leurs vêtements sont à leur image : robustes, mais de grande qualité, des tissus épais et ornés de moult détails. Ils apprécient évidemment les pierreries et les métaux de toute sorte et en incluent une multitude dans leurs parures. Mais, avant tout, ils cherchent à arborer des vêtements et des ornements pratiques, même s’ils ne les portent pas dans l’intention de se battre ou de voyager.
Prérequis
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Barbe luxuriante
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Taille maximale : 5 pieds 5
Oorok
Création et reproduction
Tout comme le Demi-Orc, cette race est le résultat d’une union entre un Orc et une Elfe. Cette relation peu, ou non, être établie sous la contrainte. En effet, certains Elfes aspirent à créer «l’être suprême», un guerrier alliant l’agilité et la force. D’autres sont moins enclins à cette idée et y sont plutôt soumis par la force. D’ailleurs, les Elfes qui survivent au viol rejettent généralement leur rejeton.
Rites et coutumes
Les Ooroks errants rejoignent souvent les rangs d’autres Orcs, d’Humains ou bien d’autres Ooroks mais suivent principalement les us et coutumes des Orcs.
Relation et style de vie en Sindar
Les autres Orcs les voient souvent comme un atout sur les champs de bataille. Par contre, ils vont généralement tenter de les asservir afin d’éviter qu’ils ne prennent le dessus et s’en servent en premières lignes au combat.
Plusieurs groupes d’Ooroks se sont créés afin de mener les raids à leur façon. Une compétition s’installe alors entre eux et les Orcs pour les butins et les territoires.
Puisque qu’ils sont responsables de l’ouverture du Livre d’Efrava et de l’apparition des Damnés, ils subissent l’ire des autres races.
Description
Les Ooroks affichent une peau à la caractéristique teinte grise. Ils sont aussi musclés que les Orcs, mais plus effilés et agiles. Ils portent en général des vêtements et des armures de meilleure facture que celles des Orcs, mais préfère l’utilité à l’esthétisme.
Prérequis
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Crocs
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Oreilles pointues
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Maquillage gris ou argenté
Orc
Création et reproduction
Anciennement, ces créatures ont évolué en une lignée à part des Humains pour devenir celles que nous connaissons aujourd’hui. Soumises à des climats arides, ce sont les plus forts qui eurent l’avantage évolutif, et non les plus brillants. D’ailleurs, les femelles orques sont à l’égales des mâles et seuls ceux qui les battront en combat singulier auront leurs faveurs et pourront espérer un héritier. L’enfant orque sera constamment mis à l’épreuve par des tests de survie et de combat pendant sa croissance, et les plus faibles seront tout bonnement relégués à des tâches moindres.
Rites et coutumes
Les fêtes des Orcs sont baignées de sang. Que ce soit pour le choix d’un nouveau chef, la célébration d’une victoire, le succès d’une chasse, une éclipse lunaire ou le premier ennemi abattu par un jeune Orc, les cérémonies, sont souvent similaires. Armes, bijoux d’os et de bois, colliers de dents et autres trophées sont mis en évidence, le bourdonnement des tambours associé à la prise de certaines drogues créent une transe généralisée. Le paroxysme survient lors des combats qui permettent d’élire un dirigeant ou un capitaine.
Relation et style de vie en Sindar
Les Orcs sont craints et tenus loin des villes. Ils établissent plutôt sur les plaines des habitations de peau entourées de palissades de bois dont la vue suffit généralement à tenir loin ceux qui pensaient avoir le cœur vaillant. Au fil des générations, les constructions sont fortifiées de plus en plus et le village s’étend, parfois au détriment d’une forêt toute proche. Toutefois, un grand regroupement ne manque jamais de causer la zizanie, à moins d’être gouverné par un dirigeant très puissant et charismatique. Il y a donc une limite à l’expansion de leur civilisation et certaines têtes fortes peuvent alors tenter leur chance pour créer un nouveau village.
Certaines autres races aiment bien s’affilier à eux, mais le caractère irritable et imprévisible des Orcs rend cette association risquée.
Description
Les Orcs sont tous très musclés et portent des vêtements rudimentaires faits de cuir, de peau ou de fourrure, ornés des trophées des ennemis vaincus. La marque de leur tribu et des tatouages protecteurs marquent souvent leur peau qui est aussi trouée par des perçages. Outre leur apparence, ils sont aussi caractérisés par une intelligence sous la moyenne qui les empêche de mettre au point certains plans complexes. Généralement, ils sont aussi très peu civilisés et ignorent la courtoisie.
Prérequis
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Crocs
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Maquillage vert
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Forte carrure
Tiefling
Création et reproduction
C’est lors d’un rite démoniaque qu’une femme consentante reçoit en elle l’énergie de Morkaï pour mettre au monde un Tiefling neuf mois plus tard. La naissance est souvent périlleuse pour la mère, mais son enfant sera rapidement autonome, bien plus rapidement qu’un enfant Humain. Il est de notoriété publique que la mère doit être favorable à l’idée, sans quoi, elle ne pourra concevoir qu’un Humain. Apparemment, certains Tiefling peuvent se reproduire entre eux.
Rites et coutumes
La plupart des Tiefling vouent un culte à Morkaï, et tous l’apprécient pour le cadeau de la vie qu’il leur a fait. Les différentes célébrations sont donc toujours conçues au goût du dieu des démons. La conception et la naissance d’un Tiefling sont parmi les évènements les plus importants et tous sont présents pour célébrer la création ou l’arrivée d’un nouveau venu. Également, à tous les ans, ils vouent une nuit à Morkaï où les plus croyants pratiquent une vieille coutume en se peinturant le visage du sang de leurs plus braves ennemis. Apparemment, ils pourraient ainsi absorber le talent et la puissance de ceux-ci.
Relation et style de vie en Sindar
Bien des gens les voient comme des bêtes sanguinaires, mais en fait, ils sont plutôt civilisés, mais très calculateurs. Ils planifient chacun de leurs mouvements afin de conserver l’avantage en tout temps et de frapper au bon moment. Ils acquièrent le pouvoir par le contrôle, et ce contrôle, ils l’obtiennent par des magouilles et des complots. Ils jouent avec les faiblesses des autres, comme un chat avec une souris, et transforment leur proie en petite marionnette. S’ils ont affaire avec une personne sans faille, ils chercheront pour trouver le secret qui saura la faire plier. Les pactes établis le sont dans l’ombre et les autorités ne sont jamais au fait de ces ententes, à moins qu’elles ne soient déjà sous leur joug. Néanmoins, celles-ci les ont souvent à l’œil, quelques informateurs parviennent aux risques de leur vie à pouvoir les informer.
Grâce à leurs paroles sirupeuses et à leur entourloupes, certains vont même jusqu’à s’intégrer aux plus hautes sphères de la société. Marchands, milice, nobles, juges, ils feront tout pour les mettre dans leur poche.
Bien qu’ils parviennent à la plupart de leurs fins grâce à leur ruse, les Tieflings savent généralement se battre. Au combat, ils sont cruels, vils et sournois et useront de tous les coups bas qui les feront gagner. De plus, leur nature permet le contrôle d’un élément, caractéristique héritée de ses
Relation avec les enfers
En majorité, les Tieflings n’iront jamais aux enfers. Ils sont généralement vus comme des simples laquais par les démons purs qui refusent de s’accointer à eux. Toutefois, les Tieflings les plus talentueux sont mandatés par lesdits démons pour des missions particulières et, éventuellement, les meilleurs rejoindront un jour les rangs infernaux du seigneur des enfers, avec le prestige et les avantages que ça implique.
Description
Leurs cornes et leur peau rouge les rendent reconnaissables à coup sûr. Leurs vêtements sont très ornementés et de bonne facture et ils adorent démontrer leur pouvoir dans leur apparat par des bijoux et des objets de valeur.
Prérequis
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Maquillage rouge
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Cornes
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Alignement Mauvais
Varakmyr
Arrivé en Sindar
Avant de se retrouver en Sindar, le peuple Varakmyrs se trouvait sur un autre continent que peu de gens connaissent le nom ou qui semble peu prononçable pour la plupart des gens ne parlant pas leur langue.
Les Varakmyr sont encore peu connu en Sindar, malgré leur présence importante dans la cité de Eyrar qu’ils ont prit possession lors de l’envahissement du seigneur de guerre Amenax. Apportant beaucoup de préjuger au début sur les leurs, plusieurs villageois finirent par s’accoutumer à leur présence qui est bien ancrée depuis l’an 120.
Rites et coutumes
La culture qui est bien connu de tous est plutôt étrangère dans les terres de Sindar, ils ne croient en aucun dieux et portent même une haine envers les divinités qui sont priés et proclamé au et fort. Seules quelques Vararkmyr commencent à avoir une certaine neutralité face à la prêtrise ou l’arcane.
Relation et style de vie en Sindar
Le peuple est connu partout en Sindar pour être de grand adepte de chamanisme, ont peux souvent les retrouver dans certain endroit de la cité en train de méditer ou en transe faisant des rites chamans. Avec le temps passé sur le continent, quelques Varamyr commencent à apprivoiser le commun parler par la plupart des habitants, mais la plupart sont plutôt réserver préférant garder leur langue natale pour les discussion en Eyrar et même sur le chemins autour.
Description
Ils ressemblent beaucoup à des humains, mais les Varakmyrs ont tendance à être plus grand que l'humain. Ils arborent souvent tattouages et peintures tribales représentant leurs tribus ou clans. Leur culture est facilement visible par leur habillement, peau animale, ossements et vêtements efficace pour le combat.
Prérequis
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Avoir l’autorisation de l’animation, ne pas être nouveau à l’univers d’Éklaizia.
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Avoir des peintures/tattouages tribales.